L’origine du consentement à l’impôt en droit fiscal

Parfois, parce que les contributions sont non consenties, qu’elles sont devenues nulles et illégales. C’est pourquoi il est né le principe procédurier de conformité fiscale. Il tire son œuvre du principe de consentement de l’impôt. On va découvrir par la suite plus de détails concernant ce consentement.

Généralités

Certains connaissent peut-être déjà ce que le consentement à l’impôt signifie, mais d’autres n’ont sûrement pas entendu cela. C’est pourquoi on a décidé de donner quelques informations sur ce sujet. Cela fonctionne donc comme ça, le redevable du consentement à l’impôt est manifesté son accord, s’il est juridiquement valable prélevé, et vice versa. En général, c’est l’instauration du parlementaire et de l’Etat constitutionnel moderne qui s’occupent ce consentement.

En d’autres termes, l’histoire de ce consentement est logiquement commencée à l’égard de celle dans le sens moderne. Ceci est souvent usé par la monarchie telle que l’instrument afin de renforcer financièrement une autorité constamment instaurée. Par ce fait, il a été finalement foncé ce consentement à l’impôt, grâce aux diètes parlementaires anglo-saxonnes. Ainsi qu’à l’exercice de l’autorité par les représentants du peuple. C’est par ainsi que cela a commencé ce principe.

Consentement à l’impôt

En effet, ceci doit être obligatoire, mais varie selon l’imposition du pays. On va voir quelques exemples sur des différents pays. En France, ou en droit français, dès l’année 1789, la déclaration des droits de l’homme et du citoyen est affirmée, et en plus, sera repris dans les articles 13 et 14 de cette déclaration. L’exigence se repose sur le consentement des impôts par les citoyens. En revanche, au Canada, les parlementaires sont prévus pour donner le consentement à l’impôt par le droit canadien.

Par ailleurs, au pays d’Amérique, il y avait un soulèvement des colonies au moment de la révolution américaine. De ce fait, le principe a été immédiatement consenti et reconnu, en droit américain. Tandis qu’au pays britannique, il prévoit encore dans la Magna Carta le consentement à l’impôt par les constitutionnels. Puis, c’est également réaffirmé dans le Bill of Rights. D’ailleurs, ça a été un enjeu important pour les parlementaires, car cela a opposé la dynastie des Stuarts.

De ce fait, les 4 pays précédemment cités ont leur propre politique et technique pour faire avancer le consentement à l’impôt. Il existe encore d’autres pays qui usent d’autres méthodes pour ceci. Comme l’on a vu ci-dessus, et d’après l’historique, cela se différencie et se varie selon le pays.